Ilva falloir renoncer à la prétention de détenir une vérité et opter pour la prudence maximale et la vérification perpétuelle de ce que nous croyons savoir. Devant l’effort colossal que cela implique, on comprend l’attrait du dogme, beaucoup plus reposant. Le monde autour de nous est là. Qu’on le veuille ou non. Ce que je peux apprendre de ce monde, chacun doit pouvoir le
Cours vidéo + quizz la Vérité F. Grolleau " A quoi reconnaît-on la vérité ?" 1. Quelle différence peut-on établir entre réalité et vérité ? a ce sont deux synonymes, il n'y a aucune distinction à effectuer b la réalité est certaine, la vérité est relative c le réel est divers et matériel, la vérité est une et indiscutable 2. Pourquoi l'intuition d'une vérité est-elle intransmissible ? a elle est discutable b elle est faillible c elle ne peut être exprimée par les mots 3. En quoi la vérité s'oppose -t elle à l'opinion ? a la vérité est une et l'opinion est multiple b la vérité comprend toutes les opinions possibles c la vérité refuse la valeur indiscutable de l'opinion 4. Pourquoi est-il faux d'affirmer que le doute s'oppose à la perception de la vérité ? a le doute est la seule vérité possible b le doute se présente comme une étape nécessaire de remise en question c la vérité conduit nécessairement à douter 5. Pourquoi le raisonnement mathématique peut-il apparaître comme un modèle de vérité ? a les maths sont adaptables à tous les domaines de l'existence b les maths sont toujours raison c ces raisonnements semblent universels et indubitables 6. Pourquoi l'apparence n'est-elle pas considérée comme un critère de vérité ? a il y a un écart entre ce qui nous apparaît et ce qui est réellement b l'apparence déjoue l'idée de vérité car elle est seule fiable c la quête de la vérité ne se soucie pas de la vérité, elle sait que la vérité se situe bien au-delà 7. Pourquoi le doute est-il essentiel dans la quête de vérité ? a le doute permet de révéler la vanité de l'idée de vérité b le doute est un artifice pour justifier la vérité c le doute permet de remettre en cause les préjugés. 8. La réminiscence pour Platon, c’est a un problème de mémoire b l’oubli de la vérité c le ressouvenir de la Vérité déjà contenue en nous 9. Loin de nous faire renoncer à la vérité, le doute cartésien a est le pire moyen pour l’atteindre b est ce par quoi on manque à coup sûr la vérité c est un passage obligé pour atteindre la vérité - Réponses 1/ c Le réel est l'ensemble des choses existant de manière effective mais sujettes à l'erreur et aux illusions de l'opinion ; supposée semblable et indubitable pour chacun, la vérité est située au-dessus du règne du réel. 2/ c Du latin intuiteor, l'intuition est une vision mais de l'esprit, elle saisit une vérité dans son entier, sans aucune médiation physique ni discursive. Ainsi elle demeure interne à l'esprit qui la découvre. 3/ a La vérité a une prétention à l'universel et ne peut se satisfaire d'une affirmation comme l'opinion , prenant l'apparence d'un jugement mais ne reposant sur aucun examen réfléchi. 4/ b Le doute joue un rôle essentiel dans la quête de la vérité parce qu'il remet en question des certitudes parfois infondées pour les justifier ou corriger. Il est alors nécessaire au désir de recherche de jugements justifiés. 5/ c Les mathématiques sont une discipline pure, c'est-à-dire dont les raisonnements s'avèrent purement logiques. Au XVII e siècle, on les a considérés comme modèle de vérité puisque ces raisonnements étaient les seuls à garantir un consensus. 6/ a L'apparence, sensible et attachée à la matière, est considérée comme régulièrement en décalage avec ce qui est effectivement. Elle ne peut se présenter comme critère de la vérité, bien qu'elle puisse parfois lui correspondre. 7/ c Pour qui veut parvenir à la vérité, il est essentiel de vouloir justifier chacune des affirmations formulables sans se contenter du sentiment. Ainsi le doute est-il indispensable à une mise en mouvement de la recherche de la vérité. 8/ d La réminiscence est, dans la pensée de Platon, l'éveil par l'âme des possibilités latentes qu'elle porte en elle-même. L'acquisition de la connaissance doit alors débuter par une re-connaissance. Cette théorie sert tout à la fois à démontrer l'immortalité de l'âme et l'existence de réalités intelligibles. 9/ c Le doute cartésien est provisoire, il a pour but de trouver une vérité, une certitude qui y résiste. ce qui en fait un moment nécessaire de la méthode destinée à atteindre la vérité. Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous
Maisla recherche de la vérité n'est entreprise que par celui qui doute de ce qu'il sait, de ce qu'il croit savoir. Je sais que je ne sais rien disait Socrate et c'est pour cela qu'il cherchait, qu'il chassait la vérité et la justice. Sur ce point voir: l'aide N°33 Faut-il se méfier de l'amour? En ce sens douter ne serait pas renoncer à
Re douter, est-ce renoncer à la véritée éssaye de trouver les différente définition de la verité, idem pour le doute.. tu sauras au moins a quoi corresponde ces notion en philosophie.. e qui est étrange dans cet enoncé c'est le terme "renoncer", comme si le fait de douter allait empecher l'existence de toute vérité future... ce qui en quelque sorte n'est pas tout a fait faux, puisque le procéssus qu'engage le doute ne peut prendre fin qu'avec la certitude absolue, et la découverte de la Vérité absolue... par conséquent toute les vérité découverte jusqu'a celle-ci ne peuvent-etre que des vérité relativea une époque, a une culture, ou a que sais-je encore je dirais que cet ennoncé se raproche du travail philosophique portant sur l'universalisme, ou la tentative de passer au dessus de la subjectivité, et des illusions pour atteindre le réel en soi... et ce, pour trouver les definition les plus gobale, l plus globale a l'explication du monde... on peu aussi regarder quelque chose d'assez precis, " la question peut-on douter du doute" c'est a dire remettre en cause la fonction du doute, demontre qu'il est impossible de tout remettre en cause... car le résultat de ce questionement n'est pas valide, celui-ci ne donnant pas crédit a la fonction du doute elle-même... on peut donc dire qu'il existe des vérités qui reste même en prenant le doute comme moyen de raisonement... le doute, la raisona travers le doute, l'existence, la pensée, le sujet, le temps, le language... donc, si le doute empèche l'accès a la vérité universelle, du vrai en-soi, il n'en reste pas qu'il existe des vérité supérieure, transcendante, sur lequel le doute n'a pas de prise... ce sont les donné par lesquel le doute a une existence. c'est par là que l'on peu espérer retrouver par la raison la vérité... tout en sachant que celle-ci ne seras jamais universelle... la position du doute, est la position intellectelle de la raison, une position ou la vérité acquise ne peut-etre qu'une hyphothèse qui a réussie... un jeu de l'esprit en attendant qu'une nouvelle hypothèse plus globale ne vienne la suplanter... beaucoup prefère se tenir sur la croyance dans le vrai, car c'est psychologiquement plus solide, car elle amène une certitude, un peu comme lorsque l'on monte une tour, mais la position la plus rationelle est de ne jamais croire dans la vérité né de la "fonction du doute" Douter c’est renoncer à la vérité Qui aurait l’idée de remettre en question l’existence du sol sur lequel nous marchons, de l’air que nous respirons, de l’eau que nous buvons. Ces choses sont évidentes et en douter reviendrait tout simplement à nier la réalité. Faut-il en déduire pour autant que le doute et la vérité sont toujours opposés ?
Épreuve tant redoutée, qui lance les épreuves du Bac. Voici les corrigés de philosophie, première épreuve passée ce lundi par les candidats des séries générales et technologiques au Bac 2018.=> Consultez ici les sujets du Bac Philo 2018=> Retrouvez aussi notre Facebook Live spécial corrigé "Bac Philo 2018"Examen du lundi 18 juin 2018 de 8h à 12hDurée de l'épreuve de philosophie 4hCorrigés Séries L - Corrigé des Séries ES - Corrigé des Séries S - Corrigé des Séries TechnoLes propositions qui suivent ne constituent pas une correction définitive mais des éléments de réflexion. Il est important que les candidats se rappellent que les attentes, en ce qui concerne l'épreuve de philosophie, sont avant tout l'exercice réfléchi du jugement et le témoignage d'une culture philosophique du Bac Philo Série L Littéraire Coef. 7Corrigé Sujet 1 La culture nous rend-elle plus humain ?Le sujet est assez classique dans sa première chose à faire ici est de se demander, de façon un peu innocente pourquoi, alors que la culture est par essence humaine, elle ne nous rendrait pas humain et même plus humain ? Le rôle de la culture n’est-il pas de nous détacher de l’animalité, par exemple ?Le sujet sous-entend deux éléments 1 la distinction nature/culture si la culture nous rend plus humain, nous sort-elle alors de plus en plus de la nature ?,2 la notion de progrès qu’implique le plus » plus humain que quoi ? Cependant, ce plus » sous-entend que nous sommes déjà quelque peu humains avant l’apparition de la culture, ou même sans reformulée, la question peut donner Le passage de la nature à la culture nous améliore-t-il dans notre humanité ?La difficulté du sujet réside notamment dans les définitions ainsi que l’analyse des concepts de culture », d’ humain », sans négliger le verbe rendre ».Le mot culture » est prioritairement à prendre au sens de civilisation », société », tel qu’il a dû être défini en tant que tête de chapitre du programme La culture ». Très secondairement, on pouvait, à un moment donné, parler de culture au sens du savoir, au même titre que les notions du programme qui composent l’analyse de la notion de culture l’histoire, le langage, l’art, etc..Question fondamentale à se poser qu’est-ce qu’être humain ? Mot définissable par distinction culture/nature mais aussi en soi la culture comme ensemble d’activités que l’être humain convenait aussi de s’interroger sur le verbe nous rend-elle » qui suppose une progression du l’humanité de l’être humain, en quelque sorte, un mouvement, une notions du programme en jeu dans le sujet sont la culture » et possiblement les notions qui composent cette tête de chapitre, autrui », mais aussi ce qui peut tantôt être questionné comme étant le propre de l’homme la raison », la conscience » ou encore des interrogations proprement humaines sur la liberté » la culture nous rend-elle plus humain en nous rendant plus libres ? ; des notions du programme pouvaient aussi être vues comme moyens ou conditions de notre humanité ou au contraire de notre inhumanité par exemple la technique ».Quelques auteurs possibles Descartes, Traité de l’ Discours sur l’origine est les fondements de l’inégalité parmi les hommes et Contrat social, livre 1Nietzsche, Humain trop La question de la était possible de raisonner selon le plan suivant I - La culture nous rend, par définition, plus humains à l’égard de nous-mêmes par elle nous nous détachons de plus en plus la nature et de l’ - La culture nous rend plus humain sans pour autant nous détacher de la nature et de l’animalité, à l’égard desquelles nous conservons un intérêt - La culture est au contraire ce qui produit les moyens d’une inhumanité à l’égard de nous-même comme à l’égard des autres on pouvait terminer par un problème actuel, par exemple, le transhumanisme, en se demandant si ce progrès de la culture ne nous transformerait pas en Sujet 2 Peut-on renoncer à la vérité ?Le sujet est assez classique dans sa il faut s’étonner d’une telle question pourquoi, alors que nous tenons tant, en règle générale, à la vérité, pourrions-nous y renoncer ?La question Peut-on renoncer à la vérité ? » implique qu’il y aurait quelque chose, finalement, de négatif dans la vérité, de trois points de vue. D’abord du point de vue de la connaissance bien qu’attaché à la vérité, on envisage ici la possibilité de renoncer à la connaissance vraie alors pourquoi ?. Ensuite d’un point de vue moral possédant une vérité, ai-je le droit d’y renoncer ? Enfin, d’un point de vue psychologique puis-je renoncer à une vérité douloureuse ?Une difficulté un piège » se trouve dans l’énoncé il s’agit de renoncer à la vérité » et non à la recherche de la vérité. Ce qui veut dire j’ai une vérité et j’y renonce et non je cherche la vérité, je ne la trouve pas, et je renonce à cette recherche.La mot vérité » a à être pris dans différents sens, afin d’ouvrir la question et les possibilités de plan. Par exemple, la vérité comme adéquation entre la pensée ou la parole d’une part, et le réel d’autre part. Dans ce cas, pouvoir renoncer à la vérité, c’est pouvoir renoncer à dire ce qui s’est passé, ou à y penser évidemment, en précisant pourquoi nous serions amenés à un tel renoncement, et si, moralement, nous le pouvons.Le verbe peut-on » se questionne donc d’un point de vue moral avons-nous le droit ? mais aussi d’un point de vue psychologique est-il possible de se détacher d’une vérité dont nous aurions au fond besoin ? Sans oublier le point de vue de la connaissance elle-même si un savoir est vrai, ne s’impose-t-il pas à nous ?Il faut aussi considérer le la » de la vérité » la question n’est pas Peut-on renoncer à une vérité ? », en particulier, mais à la vérité en général. Il faut se demander s’il existe une vérité générale, voire faut être concret et analyser les conséquences possibles de ce renoncement le mensonge, l’oubli, par notions du programme en jeu dans le sujet sont la vérité, la raison et le réel, la conscience, la liberté suis-je libre de renoncer à la vérité ? était possible de raisonner selon le plan suivant I - On ne peut renoncer à la vérité car cette dernière s’impose à nous, par exemple - On ne peut moralement renoncer à la vérité car cette dernière relève du devoir de vérité, de mémoire.III - On peut renoncer à la vérité quand celle-ci s’avère possibles Sextus Empiricus, Hypotyposes Méditation métaphysique, Le gai mettre en lien avec la notion de bonheur par exemple renoncer à la vérité rend-il heureux ?Corrigé Sujet 3 explication de texte Texte de SchopenhauerLe sujet 3 est difficile dans son approche et son traitement car son concept central n’est pas contenu directement dans le programme des notions ce qui est tout à fait possible et prévu puisque les sujets de philosophie ne sont pas des questions de cours, mais de véritables sujets de réflexion sur un problème qu’une interrogation ou qu’un texte soulèveIl ne fallait donc pas chercher à plaquer mécaniquement sur le texte de Schopenhauer des connaissances apprises par notion centrale du texte est la peur. Il faut avoir fait plusieurs lectures attentives du texte, jusqu’au bout, pour voir ce concept. Ce dernier est présenté en fin de texte comme la récapitulation d’une dit Schopenhauer sur la peur la thèse du texte ? la peur qui peut nous retenir d’agir est plus ou moins consciente car nous cachons ce sentiment un peu honteux par une cause plus noble », des raisons purement morales ».Cette notion de peur est analysée dans le 2nd paragraphe. Le rôle du 1e paragraphe est d’amener et de faire comprendre a contrario la peur, par son contraire donc, à savoir le désir encore et toujours de façon plus ou moins consciente de voir quelque chose arriver, mais qu’on peut se cacher à argumentation est assez concrète comment, en nous, la peur se forme-t-elle ? Il ne s’agit pas de la peur brutale qui nous saisit face à un monstre par exemple, mais du sentiment diffus, plus ou moins conscient, qui s’installe en nous dès que nos avons une décision importante à prendre ou une action cruciale à peur peut être ici comprise comme la peur de perdre, la peur d’affronter des situations incertaines ou de devoir prendre des au fond un texte à dimension morale philosophie de l’action et psychologique philosophie des sentiments sur les motifs » encore une fois, plus ou moins conscients qui nous retiennent ou nous poussent.Notions du programme en jeu la vérité, la conscience et l’inconscient, la morale, le désir, le du Bac Philo Série ES Economique et sociale Coef. 4Corrigé Sujet 1 Toute vérité est-elle définitive ?Le premier sujet de la série ES est assez classique puisqu'il confronte la notion de vérité avec son caractère temporel et relatif. Le sujet est très large et n'a donc pas de plan type. Il faut d'abord que le candidat se consacre à une définition des notions. La vérité se définit traditionnellement comme l'adéquation entre nos pensées et le réel. Le réel existe, il est présent mais pouvons-nous le connaître définitivement pour autant ? C'est là l'enjeu de la question. Les candidats doivent s'attarder sur la notion "définitive". Ce qui est définitif est considéré comme achevé, certain, irrévocable. Enfin il fallait noter que le sujet demande si "toute" vérité est définitive, ce qui sous-entend la possibilité de distinguer plusieurs formes de première hypothèse que les candidats pouvaient envisager est tout simplement de constater que la vérité, peu importe le domaine dans lequel nous nous inscrivons, semble connaître des évolutions. De façon privilégiée, ce que nous dit la science à propos du réel subit des transformations, voire des révolutions, au cours du pour autant, cette évolution remet-elle en cause la notion de vérité ou, au contraire, notre capacité à y parvenir ? Il faut alors dégager une méthode d'accès à la vérité. La démonstration est le moyen privilégié pour réaliser cet objectif. Cette méthode possède néanmoins le risque de s'éloigner du réel à cause de son caractère trop formel, ce qui nous éloignera également de la vérité entendue comme adéquation au faut-il donc distinguer au sein même de la vérité plusieurs formes possibles. Il y aurait des vérités définitives comme celles du cogito cartésien ou certaines vérités de la science et d'autres qui sont vouées à évoluer au cours du temps comme les vérités qui reposent sur une auteurs pour un tel sujet sont nombreux. Les candidats pouvaient faire référence au débat entre Platon et Protagoras en ce qui concerne la relativité de la vérité ou encore à l'allégorie de la caverne. Le cogito cartésien apparaît comme une référence importante. L'opposition entre phénomènes et noumènes réalité intelligible, opposée au phénomène sensible, NDLR proposée par Kant peut être utile. Sinon, ils pouvaient aller chercher des auteurs en épistémologie comme Popper, Duhem...Corrigé Sujet 2 Peut-on être insensible à l'art ?Le deuxième sujet est intéressant puisqu'il repose sur un paradoxe. A première vue, il semble difficile d'être insensible à l'art puisque l'essence même de l'art est d'interpeller notre sensibilité. L'art n'a pas seulement pour fonction de toucher notre sensibilité, il a également une fonction intellectuelle, mais il y parvient normalement en passant par nos faut donc, dans un premier temps, travailler ce paradoxe en insistant sur le fait que l'art est le propre de l'homme. Il témoigne de notre appartenance à une culture et donc à l'humanité. L'art est donc essentiel à l'homme et il apparaît difficile d'y être il arrive que nous ne soyons pas touchés par certaines formes d'art. Il faut alors faire subir au sujet une légère inflexion. S'il semble difficile qu'un individu soit insensible à tout art, il peut l'être à certaines manifestations de l'art. C'est un phénomène que l'on retrouve par exemple avec l'insensibilité qu'une partie du public peut éprouver à l'égard de l'art faut alors rechercher la cause de cette insensibilité et on voit assez vite qu'elle repose souvent sur une certaine incompréhension, ce qui permet de renverser le rapport traditionnel que l'on attribue entre sensibilité et intellection. Il est peut-être nécessaire de comprendre une oeuvre pour y être sensible et non l' candidats pouvaient faire référence aux travaux de Hume sur la sensibilité, à ceux de Kant sur la manière de distinguer l'agréable du beau. Ils pouvaient également utiliser des auteurs plus contemporains comme Danto ou Goodman sur la relation du public à l'art contemporain. Il était également possible de solliciter Hegel pour insister sur l'importance de l'intellect en Sujet 3 explication de texte Durkheim, Les formes élémentaires de la vie religieuseLe texte proposé aux élèves de ES est assez simple dans sa formulation mais peut avoir un caractère déroutant pour les candidats car il ne renvoie pas clairement à une notion du objet concerne le rapport à autrui et, plus particulièrement, l'influence que peut avoir autrui sur nous du fait de son problème que se pose ici Durkheim est de savoir comment certains individus exercent-ils une influence sur les autres ? Comment le rapport d'autorité se manifeste-t-il ?Il défend la thèse selon laquelle l'autorité provient d'une reconnaissance en une "énergie psychique" particulière qui limite la volonté de celui qui obéit. L'enjeu du texte est donc de travailler ce rapport si particulier qui existe entre ceux qui commandent et ceux qui texte est divisé en deux parties. Dans un premier temps, l'auteur s'attache à travailler le rapport d'autorité avant de l'appliquer au cas particulier du commandement dans une deuxième candidats devaient d'abord définir les notions d'obéissance, d'autorité morale, d'énergie psychique. Il est bon d'insister sur le caractère étonnant de cette notion d'énergie psychique. Le rapport entre notre volonté et celle de celui qui impose le respect doit être traité. Les notions de prescription et de commandement sont importantes. Il faut également réfléchir à la notion d'intensité. Le texte n'est pas forcément complexe mais demande une attention particulière. Le risque pour les candidats est de faire une longue paraphrase du texte au lieu de réaliser un travail patient d' Retrouvez les corrections du Bac Philo 2018 en Facebook Live Corrigés Bac Philo 2018 l'épreuve de philo est terminée, voici les corrigés en Live! Posez-nous vos questions en commentaires - En partenariat avec Nomad Education - applis de révisions pour le bac by Le Parisien Etudiant on Monday, June 18, 2018Corrigé du Bac Philo Série S Scientifique Coef. 3Corrigé Sujet 1 Le désir est-il la marque de notre imperfection ?Sujet assez classique le désir, formulation assez inédite. Assez difficile à cause de la notion d’imperfection qu’il faut bien analyser. Reformulée, la question donne Le désir est-il notre noblesse possible ou notre misère réelle ? Progrès ou décadence ?Il faut préciser le sens de marque » qui est une métaphore, qui signifie la preuve, ou encore l’indice, ou le signe de reconnaissance de notre fallait voir les différentes définitions, acceptions et conception du désir afin de trouver des pistes différentes. Par exemples - Le désir comme manque, souffrance, désespoir, frustration. Dans ce cas, le désir est la marque de notre Le désir opposé au besoin, comme tendance noble vers quelque chose de bon dans ce cas, le désir peut, dans son mouvement et dans sa réalisation, tendre vers la perfection est également intéressant de bien creuser les implications du mot imperfection » - le contraire de la perfection se demander si nous pouvons être parfaits ;- la possibilité d’un perfectionnement, d’une amélioration devenons-nous meilleurs moralement par exemple si nous renonçons au désir ou à certains désirs ?Les notions du programme en jeu dans le sujet sont le désir, la morale, la culture, la conscience, la auteurs possibles Épicure, Lettre à Le monde comme volonté et comme était possible de raisonner selon le plan suivant I - Le désir est la marque de notre - Le désir n’est la marque que d’une certaine imperfection, tout dépend du désir dont on - Le désir est la marque, non de notre perfection nul n’est parfait, mais le moyen de notre perfectionnement, et donc la marque de notre on pouvait ouvrir sur la question fondamentale de notre liberté face à nos Sujet 2 Eprouver l’injustice, est-ce nécessaire pour savoir ce qui est juste ?Le sujet est assez difficile dans sa formulation, et assez inédit en problème de cette question repose sur deux distinctions, entre injustice » et juste », entre éprouver » et savoir ».La première distinction nécessite de bien reprendre des définitions de la justice vues en cours, puis de définir a contrario ce qu’est l’injustice peut-on comprendre l’injuste par son contraire ?La seconde distinction repose sur la dualité sentiment/ raison, éprouver » affectivement VS savoir » rationnellement. Il faut se demander si un sentiment d’injustice peut reposer sur une idée de justice. Eprouver l’injustice est-il naturel ou nécessite-il un savoir, moral, juridique, ou encore politique ?Reformulée, la question donne Faut-il posséder une idée rationnelle de la justice pour ressentir l’injustice ? La connaissance du juste est-elle une condition préalable à tout sentiment d’injustice ?Il faut donc bien se demander en quoi consiste le problème, car habituellement nous pensons que le sentiment d’injustice est premier l’exemple du jeune enfant qui ressent de l’injustice sans forcément connaître l’idée de justice et que l’idée de justice est le fruit d’une rationalisation faut préciser également nécessaire » ici, une condition impérativement notions du programme en jeu dans le sujet sont la justice, le droit, le sujet, la conscience, la était possible de raisonner selon le plan suivant I - Eprouver l’injustice est une condition préalable et nécessaire à la connaissance du justeII - Il faut avoir une idée du juste pour ressentir authentiquement l’injusticeIII - On éprouve d’abord l’injustice de laquelle on se forge une idée du juste, idée qui sert alors à juger rationnellement l’injusticeAuteurs possibles Platon, République mythe de Gygès.Aristote, Ethique à Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les Théorie de la s’interroger sur les liens entre justice, injustice et Sujet 3 Texte de MillLe sujet est très difficile dans son approche et son texte porte sur la question du possible lien de causalité entre les lois et les phénomènes de la nature d’une part, les autres phénomènes, humains et sociaux d’autres problème peut être posé ainsi habituellement, les lois et les phénomène humains et sociaux se comprennent indépendamment des lois et phénomènes de la prend le contre-pied de cette idée et énonce la thèse suivante tous les phénomènes humains sont en même temps des phénomènes de la nature. Pourquoi ? Car les lois qui régissent la nature et la société sont les mêmes. Or, la nature étant antérieure à la société, la première détermine la doit être précisée ainsi tout au long de l’analyse les lois sont toujours les mêmes, ce sont les circonstances dans lesquelles les lois s’appliquent qui changent circonstance naturelles VS circonstances sociales.Il était bon de donner quelques exemples, finalement simples la loi physique de la pesanteur qui s’applique dans la nature, s’applique aussi à dans société humaine mais pas sur les mêmes réalités et pas dans les mêmes circonstancesNotions du programme en jeu la raison et le réel, la démonstration, la du Bac Philo Séries Technologique sauf STHR Coef. 2Les propositions qui suivent ne constituent pas une correction définitive mais des éléments de réflexion. Il est important que les candidats se rappellent que les attentes, en ce qui concerne l'épreuve de philosophie, sont avant tout l'exercice réfléchi du jugement et le témoignage d'une culture philosophique Sujet 1 L'expérience peut-elle être trompeuse ?Le premier sujet proposé aux séries technologiques est classique mais peut apparaître complexe aux faut d'abord définir les notions du sujet. La notion d'expérience est assez large puisqu'elle traverse l'ensemble de notre existence. Il est possible de la définir comme une certaine épreuve conduisant à une connaissance ou à une maîtrise. On la retrouve dans notre quotidien mais aussi plus particulièrement dans le domaine scientifique. Le caractère trompeur d'une chose signifie que celle-ci nous fait croire qu'elle nous donne accès à la vérité alors qu'elle nous induit en de tromperie est particulièrement importante pour la notion d'expérience puisqu'elle se donne comme le moyen d'engranger des savoirs ou de maîtriser des techniques. Il apparaît donc, à première vue, que l'expérience n'est pas le temps fait que nous nous rendons parfois compte qu'une expérience nous a trompé et que ce que nous pensions être vrai s'est révélé qu'est-ce qui nous a permis de prendre conscience de cette tromperie ? L'expérience elle-même. C'est là le paradoxe de l'expérience. Même si elle peut parfois être trompeuse, elle est le seul moyen que nous avons pour la corriger. C'est donc l'expérience qui permet de corriger l' candidats pouvaient utiliser les oeuvres d'Aristote ou de Locke pour montrer que l'expérience constitue notre premier mode d'accès à la vérité. Il était bon d'utiliser Descartes et le doute systémique qu'il utilise pour montrer que nos expériences sont parfois trompeuses. Enfin, les candidats pouvaient utiliser un auteur comme Bachelard pour défendre l'idée selon laquelle l'expérience scientifique vient corriger notre expérience Sujet 2 Peut-on maîtriser le développement technique ?Le deuxième sujet est assez classique également mais possède certains échos avec l'actualité et les craintes que peut provoquer le développement notion de technique se définit comme l'ensemble des moyens utilisés par l'homme pour transformer son milieu. La technique est une caractéristique qui accompagne l'humanité depuis ses débuts et qui a permis à l'homme d'ériger une culture. Elle est donc une aide fondamentale pour l'homme si bien qu'il peut difficilement s'en la technique a connu un développement tel qu'il semble de plus en plus difficile d'en maîtriser les effets. La question apparaît alors de savoir si nous restons les maîtres de nos créations ou si elles finissent par nous faut donc réfléchir aux moyens de maîtriser notre développement technique. Une première réponse consiste à dire que ceux qui contribuent au développement technique, les ingénieurs, sont les mieux placés pour limiter leurs propres inventions. Une autre réponse possible consiste à dire que cette maîtrise doit venir d'une volonté politique, celle des dirigeants ou celle des citoyens. Dans les deux cas, il semble difficile d'envisager une maîtrise du développement car la concurrence est telle que la course au progrès ne semble pas prête de connaître un ce sujet, les candidats pouvaient faire référence à Bergson et sa définition de l'homme comme homo faber. Descartes semble une référence incontournable pour ce sujet. Il est celui qui défend l'idée d'une maîtrise de la nature grâce à la technique. Jonas est aussi une référence importante pour ce sujet puisqu'il met en garde contre les dangers du développement technique et de sa difficile Sujet 3 Montesquieu, De l'esprit des lois1/Le texte de Montesquieu proposé aux candidats des séries technologiques est intéressant puisqu'il va contre certaines idées reçues concernant ce qu'il faut entendre par liberté dans une principale du texte de Montesquieu est de définir ce qu'est la liberté politique, à savoir le fait de pouvoir faire ce que les lois nous autorisent et l'importance de l'adhésion à ces lois par les citoyens. Il développe son argumentation en deux temps. Il insiste d'abord sur l'erreur de jugement qui peut être attribué aux démocraties. Elles ne sont pas des régimes où chacun fait ce qu'il veut. Au contraire, elles sont encadrées par des lois nécessaires au bon fonctionnement de la société. Montesquieu montre ensuite le risque que pourrait courir la démocratie si chacun use de sa liberté en fonction de sa seule volonté et non selon le respect des phrase "dans les démocraties, le peuple paraît faire ce qu'il veut" insiste sur l'image que peut renvoyer la démocratie, à savoir celle d'un régime au sein duquel chaque citoyen peut suivre sa volonté et ses désirs sans devoir rendre de compte à la loi. Il s'agit là évidemment d'une apparence car en démocratie, comme dans tout régime, la loi organise la société et donc encadre les volontés phrase "la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir" insiste sur le rapport que le citoyen doit entretenir à l'égard des lois. Le respect des lois doit constituer un devoir supérieur au respect de sa volonté individuelle. Cela signifie que le citoyen doit comprendre tout l'intérêt qu'il a de respecter la propose de distinguer indépendance et liberté. L'indépendance est la capacité de l'individu de vivre seul, ce qui lui permet de ne suivre que sa volonté. Or, du fait même de son appartenance à la société cette indépendance doit être inscrite dans le projet plus général de la société. Si le citoyen souhaite ne suivre que son indépendance, il risque d'en faire les frais puisque les autres feront de même, ce qui mettra en danger la société dans son liberté se définit en apparence comme la capacité pour un individu de faire ce qu'il veut, c'est-à-dire de suivre sa volonté et ses désirs. Pourtant, si tous les individus ne font que suivre leurs désirs, ils risquent de tomber dans une forme de guerre généralisée que Hobbes appelle “état de nature”. Il faut alors contraindre les volontés individuelles par la loi, ce qui permet aux citoyens d'augmenter leur liberté. Les lois apparaissent ainsi nécessaires à la ce sujet, les candidats peuvent faire référence à Hobbes et à la définition qu'il propose de l'état de nature. Il est possible évidemment de reprendre le texte de Montesquieu. Rousseau appraît également comme un auteur important pour ce aussi →Spécial BAC 2018 les sujets et conseils de préparation...→ Dates du Bac épreuve par épreuve→ Corrigés du bac Les épreuves corrigées par nos profs sélectionnés→ Les sujets probables du Bac ciblez vos révisions...→ Conseils de révisions à quelques jours ou heures des examens→ Quiz de révisions du Bac testez votre niveau matière par matière...→ Les alertes résultats du Bac officiels et gratuits, en direct des académies...→ Bac de Philo derrière l'épaule d'un correcteur→ Bac pourquoi la philo ouvre le bal des épreuves ?Alerte Mail Corrigés du Bac
Douterce n'est pas renoncer à la vérité : le doute comme moyen de découvrir la vérité (à condition de définir la vérité) En effet, 1. La vérité consiste en une somme de jugements élaborés par les hommes quand ils font usage de leur raison (est vrai un énoncé ayant une valeur universelle) 2. C'est donc l'usage de la raison qui
... au plan pratique. Selon le hors-série du Parisien, page 15, la terrasse se présenterait comme suit Schéma clair et relativement bien étudié. Malheureusement, le tout est imaginé, et idéalisé, sur la base de la version officielle au final seul l’emplacement du palmier est à peu près conforme au réel. L’escalier compte trop de marches, 12 au lieu de 8, ce qui donne l’impression d’une terrasse haute de 1,80 mètre au lieu des 1,20 mètre au point le plus haut. Ce même escalier est placé complètement à droite, le long du mur mitoyen, ce qui permet d’imaginer un grand espace à gauche de cet escalier, pouvant accueillir les deux fosses. Malgré cette disposition imaginaire, l’auteur du schéma a dû faire déborder la fosse de gauche hors de l’abri que constitue la terrasse. Laissant ainsi supposer que l'auteur – ou mieux, les auteurs – de cette fosse aient commencé à creuser à ciel ouvert – ce qui permet d’éluder la difficulté de se servir d’outils à manche long, pseudo-pièces à conviction, sous une terrasse haute de 1,20m au plus. Autre distorsion, la porte de la cave, et son accès encadré de deux murets de maçonnerie, ont été omis sur le schéma. Porte et accès qui réduisent d’autant la surface disponible pour creuser les fosses et compliquent leur réalisation. Dans la réalité, les espaces sous la terrasse se présentent comme suit Côté gauche Côté droit Les dimensions des fosses comblées sur les photos étaient, selon le dossier A gauche, 1,20m de longueur, 0,80m de largeur, et 0,50m de profondeur. Cette fosse est totalement recouverte par la terrasse. Elle n’est pas perpendiculaire, mais parallèle au mur de façade de la maison. A droite, 2,30m de longueur, 0,95m de largeur, 0,90m de profondeur. Cette fosse a été réalisée dans l’étroit boyau, large de seulement 1 mètre, qui sépare le mur de façade de celui de soutènement de l’escalier extérieur. Le second schéma de la page 15 du hors-série, censé représenter la fosse de droite, ainsi que les dimensions avancées, sont inexacts. Le volume correspondant de terre retiré des fosses, depuis le niveau du sol, est donc de 0,48 m³ à gauche ; et de 1,97 m³ à droite. Soit environ 2,5 m³ au total. Ce volume ne tient pas compte des tas de terre et de gravats présents sous la terrasse au moment du départ de Xavier. PS inutile de s'occuper du portique et de la pirogue qui resteront là ni des gravats et autres bazars entassés sous la terrasse, au fond du jardin et dans la cave c'était là quand nous sommes arrivés ici. » N'apparaissent pas sur les photos, prises en mars 2012, tous les objets entreposés sous cette terrasse à longueur d'année, et présents au moment du départ barbecue, échelle, vieilles étagères, matériel de jardin et de vacances, etc... x x x En parcourant la chronologie il devient très difficile de trouver le temps libre pour effectuer ce gros travail de déblaiement et d'excavation, très invraisemblable pour un homme seul *. A fortiori lorsque l'on sait les problèmes de disque intervertébral aux lombaires et de péri-arthrite à l'épaule dont souffrait Xavier. Par ailleurs, connaissant très bien Xavier, puis ayant eu accès à l'ensemble de ses nombreuses communications au cours de la semaine du 3 au 10 avril, et nous retrouvant placés de facto au coeur de son propre angle de vue, il est manifeste que son état d'esprit du moment est totalement incompatible avec celui qui lui est attribué artificiellement. Il est complètement égal à lui-même, et préoccupé de ses proches et amis. Ce qui est corroboré par l'ensemble des témoignages des personnes qui l'ont rencontré, ou qui ont eu un quelconque contact avec lui sur cette période de fin mars à mi-avril 2011. x x x Et si nous étions dans le vrai ? Et si Xavier était parti avec tous les siens en urgence, comme ils l'expliquent dans leur lettre de départ ? Et si tous les oiseaux s'étaient envolés du nid à temps ? Et si ces fosses avaient été creusées après le 10 avril ? Qui nous empêche de raisonner ainsi ? D'autant plus qu'à ce jour nous n'avons strictement aucune preuve du contraire. Et si l'affaire de Nantes était une vaste supercherie... * Commentaire très pertinent de "Zounil" au sujet des photos et de la difficulté de creuser les fosses, indiqué par un ami, sur le forum de France 2 "Non élucidé" Dupont de Ligonnès Trés intéressant ; cela a dû représenter un travail considérable, d'autant qu'il a été très très bien fait. La Police va se retirer sans n'avoir rien remarqué; une policière qui se trouve alors dans le jardin, remarque une grande planche en agglo placée sous la terrasse ; elle sert de fond de niche aux chiens ; quelque chose l'intrigue la gamelle des chiens se trouve sous la planche et pas dessus; elle soulève la planche, d'où la suite. Pour avoir fait ce genre de travail dans mon jardin, je sais que pour le faire sans trace, il faut mettre une bâche pour recevoir la terre, et éviter qu'elle ne laisse par terre, des traces impossibles à enlever ; il n'y en a pas, sinon la Police les aurait remarquées surtout en regardant le jardin, du haut de la terrasse. Il y a eu trop de terre, sans doute un mètre cube au moins, soit prés d'une tonne; elle a du être enlevée, et jetée à l'extérieur ; c'est un travail colossal ; je le sais aussi pour l'avoir fait. Cette photo se trouve dans un post du blog de la soeur Christine de XDDL ; elle relève qu'il y a là un sérieux problème d'autant que son frère a mal au dos et à l'épaule; compte tenu de la hauteur de la terrasse 1m20 il a dû travailler à genoux, sans outils à manche long comme des pioches ou des pelles; il a en tout remué deux mètres cubes et demi de terre, soit plus de deux tonnes et demie; il a dû les sortir, puis les remettre en place ou aller les jeter dehors ; ça fait cinq tonnes au moins ! Sérieuse question en effet totalement occultée par les medias. Merci de nous l'avoir communiqué. » Merci pour cette réflexion. Ch. et B. Autre témoignage, tout aussi pertinent, et dont nous remercions chaleureusement l'auteur [...] Peut être auriez vous l'occasion de mentionner ma remarque je lis souvent le blog. Ayant déjà eu à creuser une fosse chez moi fosse de mécanicien il y a 10 ans avec une pelle articulée type armée il y a un truc qui est sûr - on a mal au dos - on sort des quantités énormes de terre qui se décompacte à la longue ça fait un gros volume - on finit à genoux cassé par la fatigue A l’époque j'avais un palan dans mon garage et avec la fatigue j'oubliais et donc je m'y cognais la tête systématiquement. Aie ! Tout ça pour dire que sous la terrasse j'aurais regardé les traces sur le béton sous l'hourdis pour voir si un cheveu ou des traces de pelle ne s'y sont pas logés... Ensuite celui qui a creusé a dû avoir du cal et des ampoules aux mains donc a dû utiliser du sparadrap, et s'il a fait ça la nuit une baladeuse donc voir des traces de doigts sur une prise à proximité... Cordialement. Eric. » Côté droit Côté gauche mis à jour le 22 avril 2013
Douterde tout, ce n'est pas renoncer à la vérité, c'est plutôt vouloir affirmer une vérité. La recherche de la vérité est une devoir.L'Homme est un être dotté de raison qui ne peut préféré le faux au vrai, les faux semblants à la vérité.La morale de l'Homme le pousse vers la vérité, sa société en est une preuve car elle est Le baccalauréat de philosophie en ligne Rechercher dans ce blog vendredi 4 mai 2018 Douter est-ce renoncer à la vérité ? Dissertation bac 2018 corrigée, Pondichéry séries technologiques Publié par Dubrevetaubac à 0641 Aucun commentaire Enregistrer un commentaire Forum pédagogique Pages vues Le bac de philosophie Biblitothèque scolaire gratuite Le site Camus Archives du blog ► 2020 1 ► avril 1 ► 2019 66 ► juin 35 ► mai 28 ► avril 1 ► janvier 2 ▼ 2018 78 ► juin 24 ▼ mai 45 Dissertation, sujet 2, bac philosophie Liban, séri... Commentaire bac philosophie Liban, série L 2018 ... Dissertation, sujet 1, bac philosophie Liban, séri... Commentaire bac philosophie Liban, série L 2018 ... Dissertation, sujet 2, bac philosophie Liban, séri... Dissertation, sujet 1, bac philosophie Liban, séri... Corrigé du commentaire, Alain Propos, philo Washin... Corrigé de la dissertation n°2 séries ES Washingto... Corrigé de la dissertation n° 1 Washington bac ES ... Corrigé de la dissertation n° 2 Washington bac S 2... Corrigé en ligne, dissertation n° 1 Washington S, ... Corrigé du commentaire bac philo 2018 Washington S... Corrigé de la dissertation n° 1 Washington bac L 2... Corrigé bac Washington, commentaire, série L corri... Dissertation 2 - L'homme politique doit-il être ef... L'actualité de Washington sé... L'actualité de Washington ES... L'actualité de Washington, s... Commentaire bac philosophie Liban, série ES 2018 ;... Dissertation, sujet 2, bac philosophie Liban, séri... Dissertation, sujet 1, bac philosophie Liban, séri... Commentaire bac philosophie Liban, série ES 2018 ;... Dissertation, sujet 1, bac philosophie Liban, séri... Dissertation, sujet 2, bac philosophie Liban, séri... L'actualité de Sujets de phi... Commentaire bac philosophie Liban, série S 2018 ; ... Dissertation, sujet 2, bac philosophie Liban, séri... Dissertation, sujet 1, bac philosophie Liban, séri... L'actualité de Sujets philo ... Corrigé ES, commentaire Auguste Comte, Opuscules d... Doit-on attendre de la technique qu'elle mette fin... Peut-on vivre sans morale? Corrigé philo Pondichér... Plotin, Ennéades commentaire corrigé, série S Pond... Une loi injuste vaut-elle mieux que l'absence de l... Bac 2018 sur en français, philoso... Toute démonstration est-elle scientifique?Série S ... Douter est-ce renoncer à la vérité ? Dissertation ... La culture sert-elle à changer le monde? Philo 201... Sujets corrigés philosophie Pondichéry séries tech... L'actualité de Les corrigés ... L'actualité de Les corrigés ... L'actualité de Consultez les... L'actualité de Les sujets de... L'actualité de Sujets de phi... L'actualité de Sujets de phi... ► avril 9 ► 2017 46 ► novembre 1 ► octobre 6 ► septembre 10 ► juin 12 ► mai 1 ► avril 15 ► janvier 1 ► 2016 45 ► décembre 2 ► novembre 1 ► octobre 3 ► juin 12 ► mai 11 ► avril 9 ► mars 6 ► janvier 1 ► 2015 52 ► octobre 9 ► août 1 ► juin 16 ► mai 3 ► avril 23 ► 2014 10 ► juin 7 ► avril 2 ► février 1 ► 2013 6 ► décembre 4 ► novembre 1 ► mai 1 ► 2012 4 ► décembre 3 ► août 1 ► 2011 31 ► décembre 4 ► novembre 6 ► octobre 3 ► septembre 9 ► janvier 9 ► 2010 115 ► décembre 11 ► novembre 36 ► octobre 13 ► septembre 1 ► juillet 3 ► juin 1 ► mai 9 ► avril 11 ► mars 3 ► février 8 ► janvier 19 Messages les plus consultés Peut-on douter de tout? Par prepabac Le 12/08/2012 Commenta...  Est-il absurde de désirer l'impossible? Par prepabac Le 14/... Peut-on reprocher à la philosophie d'être inutile? Par prepabac ... Toute vérité est-elle démontrable? Par prepabac Le 13/08/2012 Comment... Peut-on désirer sans souffrir? Par prepabac Le 14/08/2012 Commenta... Sommes-nous maîtres de nos désirs? Par prepabac Le 12/08/201... L'homme est-il un loup pour l'homme? Par prepabac Le 15/08/... Peut-on changer ses désirs plutôt que l'ordre du monde? Par prepabac ... Le prince Nicolas Machiavel, chapitre 18 Le devoir intégralement rédigé fait 3 pages word , il comprend une introduction très dévelop... La culture dénature t'-elle l'homme? Dissertation intégralement rédigée La culture dénature t'-elle l'homme? Dissertati...

Pourles sciences, il y a ce qu’on appelle les domaines de validité : il n’y pas « la vérité » mais ce qu’on peut approcher le mieux à un moment donné de la réalité dans un domaine. Un astrophysicien qui fait des découvertes remarquables sur les galaxies n’a rien à dire à priori sur l’Histoire, sur la biologie du cancer ou

Introduction Se demander s’il faut préférer la vérité au bonheur, c’est présupposer qu’il puisse y avoir une alternative entre la vérité et le bonheur, et se demander lequel doit l’emporter sur l’autre. Préférer, c’est établir une hiérarchie entre deux éléments, sans pour autant choisir l’un de ces deux éléments. En cela, préférer se distingue donc de vouloir une préférence est un type de choix particulier, en ce qu’il s’agit d’un choix par défaut. La vérité est le contraire du mensonge, de l’erreur, de l’illusion. On peut la définir positivement comme une adéquation à la réalité. Le bonheur peut se définir comme un sentiment de satisfaction durable, qui en cela se distinguerait de la joie ou du bien-être, plus proche de la sensation et moins durable. Le problème posé par le sujet réside dans le rapport envisagé entre le bonheur et la vérité. Ce rapport nous est présenté comme une alternative. Mais qu’est-ce qui pourrait justifier que l’on attribue une valeur plus grande à la vérité qu’au bonheur ? Nous devrons examiner les raisons de cette alternative car au fond, en quoi la vérité serait-elle exclusive du bonheur ? N’y a-t-il pas un lien profond entre la vérité et le bonheur ? Dans un premier temps, nous verrons qu’il faut préférer la vérité au bonheur dans la mesure où le bonheur pourrait n’être que la préoccupation secondaire de l’homme défini par sa raison. Mais la vérité ne peut-elle pas rendre malheureux, et faut-il en son nom tourner le dos à notre bonheur ? Nous verrons dans un deuxième temps en quoi le souci du bonheur doit l’emporter sur la quête de la vérité, avant d’examiner, dans un troisième temps, cette alternative posée entre le bonheur et la vérité car au fond, est-il seulement possible d’envisager que la quête de la vérité et la quête du bonheur se dissocient ? 1. Préférer la vérité au bonheur A. L’homme est doué de raison, et sa destination est d’accomplir cette raison A priori, on pourrait penser que la vérité est préférable au bonheur dans la mesure où le bonheur serait défini comme une préoccupation qui ne serait pas proprement humaine. C’est en particulier ce qu’établit Kant, en définissant le bonheur comme un sentiment lié à la satisfaction de nos penchants, tendances dont nous ne sommes pas maîtres, qui sont de nature particulière et ne peuvent donc correspondre à aucun impératif univoque. Le bonheur est ainsi défini comme un idéal de l’imagination, auquel, par conséquent, ne saurait s’ordonner notre action. Ainsi, si la quête du bonheur n’est pas une quête proprement humaine, elle doit être subordonnée à la quête de la vérité, quête dans laquelle l’homme accomplit sa destination d’être doué de raison. B. Le mensonge est immoral, et nous sommes faits pour être vertueux, et non heureux Si la vérité, étant propre à l’homme, doit être préférée au bonheur, selon Kant, il s’agit à la fois de la quête de la vérité au sens logique, et de la quête de la vérité au sens moral. Doit-on préférer dire la vérité plutôt que de vivre dans un mensonge qui nous rendrait heureux ? Oui, répond Kant, puisque le mensonge ne peut être un principe moral dans aucun cas. En effet, il est impossible d’universaliser le mensonge, puisqu’il suppose la crédulité. Par conséquent, tout mensonge est immoral, et seule la vérité est morale. Puisque nous sommes dotés d’une raison, et donc faits pour être moraux, il faut préférer dire la vérité plutôt que la dissimuler pour être heureux. [Transition] Pourtant, ce qui est proprement humain est-il nécessairement ce qu’il faut viser ? Si notre humanité nous sépare de l’ignorance et de l’aveuglement nécessaires au bonheur, en quoi faudrait-il se détourner de notre souci du bonheur ? 2. Préférer le bonheur à la vérité A. La recherche de la vérité exige des efforts l’ignorance et l’illusion sont confortables De fait, il semble que la quête de la vérité ne rende pas nécessairement heureux. La connaissance, le pouvoir que nous avons de connaître, semble nous exposer à des difficultés sans fin. C’est ce que souligne Descartes à plusieurs reprises alors qu’il s’efforce, dans les Méditations métaphysiques d’atteindre une vérité indubitable. Renoncer au confort du préjugé, à la douceur des illusions, s’exposer au doute pour atteindre la vérité, c’est peut-être renoncer à une forme de bonheur propre à l’esprit passif. Mais au fond, ne sommes-nous pas condamnés à cette quête malgré nous ? B. Le bonheur est lié à l’ignorance C’est finalement la question que pose Nietzsche dans les Considérations inactuelles, en comparant le bonheur d’un animal éloigné de la connaissance, oublieux, ignorant, et l’impossibilité humaine d’atteindre le bonheur. C’est que l’homme, dit-il, ne peut apprendre l’oubli » doté de facultés intellectuelles qui le tournent vers le passé et l’avenir, l’homme, incapable de jouir du présent, est essentiellement éloigné de la possibilité d’être heureux par les facultés mêmes qui le tournent vers la vérité. [Transition] Mais est-il si évident que la quête du bonheur et celle de la vérité soient dissociables ? Ce qui nous tourne vers la vérité, est-ce ce qui nous condamne à nous éloigner du bonheur ? 3. On ne peut pas préférer la vérité au bonheur puisqu’il n’y a pas de vérité sans bonheur ni de bonheur sans vérité A. Nous sommes faits pour le bonheur, et il n’y a pas de bonheur sans vérité C’est finalement l’alternative entre le bonheur et la vérité qu’il nous faudrait examiner. Car pourquoi faudrait-il préférer l’un à l’autre ? En proposant dans la Lettre à Ménécée une méthode du bonheur, Épicure remet en cause cette alternative. Car si le bonheur peut s’apprendre, c’est qu’il repose d’abord sur un effort de connaissance, qui vise à nous mettre en accord avec notre nature. L’homme malheureux est donc celui qui, par ignorance et par négligence, perd le souci de lui-même car nous disposons tous, en tant qu’hommes, des moyens d’atteindre la vérité. B. L’ignorance est malheur Ce que dit ainsi Épicure, c’est que la quête du bonheur ne peut être dissociée de la quête de la vérité connaître, dit-il, ce n’est pas chercher la vérité par amour de la vérité, mais dans la visée éthique d’un bonheur défini comme ataraxie, c’est-à-dire absence de troubles de l’âme et du corps, chercher la vérité est la condition sans laquelle aucun bonheur n’est possible. En somme, s’il est possible d’établir une supériorité du bonheur sur toutes les autres fins, en ce qu’il est le souverain bien », aucun bonheur ne peut advenir pour celui qui vit dans les craintes et les excès liés à l’ignorance. Conclusion En définitive, s’il est possible d’établir une supériorité du bonheur sur la vérité dans une perspective éthique, il est en revanche impossible de dissocier la quête de la vérité à celle du bonheur, en ce que la condition d’accès au bonheur serait d’abord la lutte contre l’ignorance, le préjugé, l’erreur. En somme, s’il est possible de préférer le bonheur à la vérité, dans la mesure où celui-ci correspondrait à notre accomplissement, il est impossible d’espérer atteindre ce bonheur en dehors de la vérité. . 8 189 208 8 348 91 125 24

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