SpiderMan No Way Home : les détails passés inaperçus dans le trailer. Tout lister prendrait trop de temps et ferait remarquer des choses que tout le monde a repérées. Cela dit, quelques
Nom Spiderman No Way Home Père Jon Watts Date de naissance 2021 Majorité 15 décembre 2021 Type sortie en salles Nationalité USA Taille 2h47 / Poids NC Genre Super-héros Livret de Famille Tom Holland, Zendaya, Benedict Cumberbatch, John Favreau, Jamie Foxx, Willem Dafoe, Alfred Molina et compagnie… Signes particuliers Une première moitié de film insipide, une seconde bien plus cool ! PLUIE DE TOILES NOTRE AVIS SUR SPIDER-MAN NO WAY HOME Synopsis Pour la première fois dans son histoire cinématographique, Spider-Man, le héros sympa du quartier est démasqué et ne peut désormais plus séparer sa vie normale de ses lourdes responsabilités de super-héros. Quand il demande de l’aide à Doctor Strange, les enjeux deviennent encore plus dangereux, le forçant à découvrir ce qu’être Spider-Man signifie véritablement. Des mois qu’on nous bassine avec ce nouveau Spider-Man annoncé comme LE film de l’année. Certains auraient plutôt pensé à Matrix 4, d’autres aux Eternels ou au West Side Story de Spielberg, mais la campagne promo XXL orchestrée par Marvel et Sony a porté ses fruits. Records de prévente de billets, No Way Home est bel et bien devenu le plus gros événement de cette fin d’année. D’autant que les multiples spéculations ont bien renforcé le pouvoir d’attraction du film. Alfred Molina, Jamie Foxx, Willem Dafoe… Les méchants des ères précédentes de l’homme-araignée sont de retour… avec les comédiens d’origine ! Quid alors des Peter Parker eux-mêmes, Tobey Maguire et Andrew Garfield ?! Motus et bouche cousue. Des démentis dans tous les sens à base de je vous jure que non » pour contrer la rumeur galopante, à tel point que les fans s’étaient résignés au fait qu’on les prenait malicieusement pour des jambons. La réponse à l’énigme est désormais en salles. En attendant, la tête d’affiche c’est toujours le bondissant Tom Holland, sa caution avengeresque c’est Doctor Strange maintenant que Tony Stark n’est plus là, Zendaya et consorts sont là, et le film embraye quasiment dans la foulée des événements du précédent volet qui avait opposé Spidey à Mysterio Jake Gyllenhaal, lequel avait foutu un beau bordel en dévoilant, dans un ultime geste d’adieu avant de périr, l’identité de l’homme-araignée. Après deux films à la qualité très discutable on entend déjà certains dire Ok j’arrête de lire cette critique , l’un comme l’autre avec quelques bons moments mais globalement trop handicapés par les codes Marvel qui les empêchaient d’exister en tant que pur films Spider-Man, il était grand temps temps que le nouvel homme-araignée change de dimension. Ce troisième très long-métrage –2h47… sérieusement les gars ?– est bel et bien le film de la transition. Mais ce qui est étonnant, et audacieux de surcroît, c’est que la transition ne s’opère pas avec le film mais… en plein film ! Cela dit, la transition entre quoi et quoi au juste ? Plus clairement, il existe deux films dans No Way Home, un premier complètement bâclé et façonné selon le regard Marvel qui a fait de Spidey un ado rigolo aux allures de sidekick sympathiquement déjanté, puis un second qui -enfin !!- ressemble davantage à un vrai Spider-Man. C’est ce deuxième film qui est le plus intéressant, presque même génial par moments. Sauf que No Way Home est un cas d’école de ce que l’on pourrait qualifier de casse-tête critique ». Cette deuxième partie, on ne peut pas en parler sous peine de gâcher les nombreuses surprises qu’elle réserve surprises que beaucoup ont devinées depuis belle lurette mais bon. Comment du coup résumer l’expérience Spider-Man No Way Home si l’on ne peut pas parler de ce qu’il a de meilleur à proposer ? Bah en fuyant la zone de conflit et en vous laissant aller le voir en salles. Passée une première moitié franchement décevante qui mâchouille encore le personnage à l’image de ce qu’en a fait Marvel depuis deux films un ado surexcité n’ayant jamais pris conscience de ses responsabilités, le film devient vraiment excitant, voire jubilatoire, dans une seconde qui libère enfin l’homme-araignée de son carcan pour lui offrir les pleins pouvoirs sur son histoire. Et No Way Home de devenir une véritable célébration de Spider-Man, une véritable célébration de son histoire ou plutôt de ses histoires, de son/ses univers et du spider-verse. Alors qu’il se prend un violent retour de maturité en pleine poire au détour d’une scène poignante, Peter Parker change et le film avec lui, devenant plus dense, plus astucieux, plus sombre, moins inconséquent et moins futile. Le vrai show peut alors enfin démarrer et il sera presque beau, traversé de scènes d’anthologie, truffé de passages émotionnellement forts et d’images iconiques pour l’éternité, rempli d’un terreau méta amené avec intelligence, drôlerie et sensibilité, un terreau qui convoque 20 ans de Spider-Man au cinéma avec des envies de gigantisme épique et de livrer la quintessence absolue du rêve de geek. Si tant est qu’il le pouvait. No Way home est l’histoire d’une mue. Celle d’un Spider-Man qui grandit, celle d’un univers qui évolue, celle d’un film qui change en cours de route pour passer de la désinvolture marvellienne à la tragédie super-héroïque rappelant celle des bons Sam Rami. Il y a de la grandeur dans ce troisième opus de la nouvelle saga. Il y a une certaine intelligence dans l’écriture, comme si la rupture intermédiaire était volontaire, affirmant haut et fort allez, on arrête les conneries, on passe aux choses sérieuses . On n’ira pas jusqu’à penser que Marvel a eu l’audace de faire un demi-film de piètre qualité mais encore mieux sublimer sa deuxième partie, mais c’est en tout cas le résultat. Mis à plat et à rebours, cette rupture rend tout le film cohérent, avant comme après. Dommage que la seule constante dans cette mutation qui augure un nouvel avenir pour Spidey, ce soit d’une part son écriture souvent imbécile, et de l’autre la mise en scène et le sens du montage chaotiques de Jon Watts qui, d’un bout à l’autre, sont désastreux. Hormis quelques plans réussis aussi éparses que des nuages dans un ciel printanier, le cinéaste sert une tambouille aussi léchée qu’un pot-au-feu sous vide de supermarché. Et de se dire que cette célébration ultime de Spider-Man au fan service bien fourni méritait sans aucun doute un meilleur cinéaste pour la magnifier et, si possible, limiter les dégâts dans les moments les plus débiles de l’histoire il y en a pléthore. C’est tout le problème, No Way Home est comme un orgasme intense après de longs préliminaires laborieux. Longs dans ce film et longs depuis trois films car il aura finalement fallu une trilogie pour faire ce que Sam Raimi avait fait en une histoire. La faute au poids des Avengers que le père d’Evil Dead n’avait pas eu à gérer, ce qui lui avait permis de se concentrer seulement et uniquement sur son personnage, d’où un meilleur traitement et de bien meilleurs films. En bref, un film qui se rend sympa quand il fait joujou avec notre nostalgie et heureusement pour lui car sans elle, l’affaire aurait été sacrément médiocre d’un bout à l’autre. Par Nicolas Rieux
Unade las cintas más esperadas de Marvel sin duda fue Spider-Man: No Way Home, pero a solo unos meses de que sea el primer aniversario de la película, muchos fanáticos no pueden esperar a verla nuevamente en la pantalla grande con una nueva versión extendida, la cual ha revelado su primer teaser. A través de las redes sociales del filme
En las innumerables conversaciones privadas que he mantenido a lo largo de estos años con Ignacio Pablo Rico en torno a la idea de lo superheroico en el cine, de manera recurrente acabamos diseccionando la problemática forma con que Marvel Studios lo afronta. Mi compañero crítico argumenta que en las ficciones cinematográficas de esta compañía los superhéroes son algo así como personas normales y corrientes, que se comportan como si el hecho de tener habilidades extraordinarias no les supusiera dilemas morales, no afectara a su perspectiva sobre la existencia ni condicionara sus vidas o sus decisiones. En pocas palabras, Rico ve a los superhéroes del Universo Cinematográfico de Marvel UCM, simplemente, como personas de a pie, que resulta que tienen los trabajos más cool del mundo. Sus lúcidas reflexiones suelen confluir en Vengadores Infinity War Avengers Infinity War, Anthony Russo, Joe Russo, 2018, la cúspide de una manera infantilizada de entender lo superheroico. En ella, argumenta Ignacio, los buenos no pierden por ser inferiores al gran villano, Thanos Josh Brolin, sino por ser incapaces de renunciar a sus intereses personales, que anteponen a los comunitarios. En otras palabras, los superhéroes de Marvel fracasan porque, en realidad, no se comportan como tales. Thanos, en cambio, a su manera problemática y despiadada, se convierte en el verdadero héroe de la función, al ser capaz de sacrificarlo todo —como señala explícitamente en una de las escenas más recordadas del filme— por el bien de su causa, que, más allá de cuestiones morales, busca salvar el universo, y no el beneficio en Vengadores Infinity WarA pesar de lo sucedido en dicho filme, posteriores entregas como Shang-Chi y la leyenda de los diez anillos Shang-Chi and the Legend of the Ten Rings, Destin Cretton, 2021 seguían ofreciendo momentos clave del relato donde los protagonistas se mostraban incapaces de sacrificar el lado personal. Por tanto, el visionado del trailer de Spider-Man No Way Home Jon Watts, 2021 me hacía temer lo peor en este sentido, pues la exposición de la trama que se ofrecía en este pequeño fragmento de vídeo mostraba una versión exagerada de esta aproximación narrativa. En él, un Peter Parker Tom Holland que ha perdido su anonimato como superhéroe debe confrontar las consecuencias de ir al instituto cuando todo el planeta sabe que es en realidad Spider-Man. Como consecuencia, acude nada menos que a Stephen Strange/Doctor Strange Benedict Cumberbatch, quizás uno de los superhéroes más poderosos, y por tanto uno de los más despegados de cuestiones meramente sociales, para que le resuelva la situación, en un acto que luce como caprichoso e infantil. La facilidad con que Strange se presta a crear un hechizo que le lave el cerebro a toda la humanidad resulta tremendamente ridículo, y redunda en la idea expuesta anteriormente los superhéroes de Marvel parecen incapaces de lidiar con el hecho de que ser un superhéroe implica, ante todo, estar dispuesto a sacrificarse por la causa. Que la premisa provoque un desbarajuste en el multiverso, que lo pone patas arriba, como se intuye en los fragmentos de acción, y que la película se tome en serio dicha propuesta, se podría calificar directamente de aberrante, una nueva decisión desnortada de una fase 4 de Marvel una vez más embargo, estas conclusiones se extraen del trailer inicial, que parece haber sido diseñado para crear pistas falsas y conducirnos a reflexiones que finalmente no tendrán cabida en el filme. Afortunadamente, esta pilla maniobra comercial permite que Spider-Man No Way Home sea, en realidad, otra película bien distinta, y, en última instancia, una de las más ambiciosas del estudio —teniendo en cuenta lo pacatas que suelen ser sus propuestas—, así como una de las que con mayor inteligencia reflexiona en torno a la idea de lo superheroico. El tercer filme de Jon Watts al frente del personaje arácnido se puede entender como la culminación de una trilogía de robusta coherencia interna, donde se explora una de las ideas centrales del personaje, que consiste en la incapacidad para vivir una doble vida. Si Spider-Man Homecoming Jon Watts, 2017 consiste en los intentos del personaje por vivir como Spider-Man, y la manera en que factores asociados a la identidad Peter Parker se interponen en su camino, Spider-Man Far from Home Jon Watts, 2019 se podría entender como el caso opuesto, es decir, como los intentos del protagonista por ser Peter Parker, mientras factores relacionados a la identidad Spider-Man le sabotean el plan repetidas veces. Se trata de las dos caras de una misma moneda, la de la complicada conciliación de una doble vida, especialmente cuando no se está dispuesto a realizar sacrificios. En este sentido, la tercera entrega de la trilogía se podría leer como la confrontación final e ineludible de dicha circunstancia, con la intención de que el personaje pase de ser un adolescente egoísta a un joven adulto que, tras haber madurado, comprenda lo que implica ser un superhéroe, y la manera en que debe comprometerse con este modo de se ha explicado, el filme comienza con un Peter Parker que, lejos de asumir los sacrificios personales asociados a convertirse en un superhéroe, pone el mundo patas arriba al ser caprichoso hasta límites aberrantes. No solo convence a Strange para que lleve a cabo un hechizo que consiga que toda la humanidad olvide que Spider-Man es Peter Parker, sino que, durante el desarrollo del encantamiento, interrumpe constantemente al hechicero, pidiéndole excepciones. Es decir, es incapaz de sacrificar sus momentos personales vividos con su pareja, su tía y sus amigos, a pesar de que lo que se está realizando —asegurar su anonimato— ya es, de por sí, lo contrario a un sacrifio. Como consecuencia, el hechizo sale mal, y los diferentes universos paralelos empiezan a entremezclarse, dando lugar a problemáticas situaciones que tendrá que solventar, como es la llegada de villanos de los Spider-Man de otras dimensiones. En otras palabras, su incapacidad para ser un verdadero superhéroe, para afrontar la responsabilidad y el sacrificio que ello conlleva, coloca su realidad al borde del abismo, y tendrá que trabajar desesperadamente por solucionar el obstante, la película no expone estas problemáticas de manera inconsciente o irrelevante, como un rasgo inherente a todo superhéroe; al contrario, el tema se convierte en el centro del relato. No solo estamos ante un arco transformador de Peter Parker, que había comenzado en la primera entrega y se ha ido desarrollando hasta desembocar en el final de esta tercera parte, sino que, en paralelo, se exploran aspectos complementarios sobre la idea de lo superheroico. Así, la presencia de personajes de otras dimensiones —concretamente, protaganistas y villanos de las otras dos encarnaciones cinematográficas del superhéroe llevadas a cabo en el siglo XXI— no funciona o no solo como mecanismo con el que crear un producto de rancio fan service acrítico, sino, más bien al contrario, permite establecer sugerentes reflexiones en torno a qué hace que un superhéroe lo sea, y de qué manera las circunstancias moldean su personalidad y sus decisiones. Esto último se explora con especial repercusión en el caso de los villanos, ofreciéndose un conflicto moral de gran calado ¿tiene sentido que un villano siga haciendo el mal cuando ya no se encuentra en el universo que lo formó como tal? Desde el otro lado de la conyuntura ¿debe ajusticiarse a un villano que no ha cometido crímenes en el universo al que el protagonista pertenece? ¿Se merece la oportunidad de cura y reinserción? La mirada perdida, confusa, de Doctor Octopus Alfred Molina ante su nueva realidad, y la manera en que esta pone en cuestión sus decisiones pasadas y le hace dudar sobre las que debería tomar en el futuro inmediato, son el mejor ejemplo para comprender la profundidad de lo que se propone en el aspecto más comentado sobre esta mal entendida nostalgia barata es la reunión de las tres versiones de Spider-Man, encarnadas por Tobey Maguire, Andrew Garfield y el citado Tom Holland. Esta reunión permite una exploración profunda de las narrativas centrales del personaje, de tal manera que las variaciones, en vez de contradecirse entre sí, refuerzan el hecho de que, aun procediendo de realidades distintas, existe algo central en ellos que los lleva a ser quienes son. Temas como el poder asociado a la responsabilidad moral; la voluntad de llevar una poco sostenible doble vida, y la manera en que una puede sabotear a la otra; o el énfasis en la identidad secreta —un aspecto que apenas se explora en el cine de superhéroes post-2008—1 son los mimbres del relato del arquetipo Peter Parker, que se complementa, entre lo cómico, lo cómplice y la tremenda empatía que se desarrolla entre los tres personajes —la química de los actores es formidable—, con las pequeñas diferencias, que ayudan a complejizar lo que implica ser Peter Parker. En última instancia, la película refleja la realidad de lo que sucede en el mundo del cómic, donde, a pesar de que el personaje cuenta con más de sesenta años de historia, el mito fundacional de Stan Lee y Steve Ditko se mantiene prácticamente inamovible, más allá de las modificaciones de las posteriores interpretaciones por parte de otros creadores, que expanden el significado de la idea de Peter Parker/ confluye en la confrontación final de las consecuencias por las decisiones tomadas. Si hasta entonces Peter Parker había vivido en un precario equilibrio, incapaz de renunciar a nada, el desarrollo y conclusión del relato de Spider-Man No Way Home lo fuerza a, de una vez y para siempre, tomar consciencia de su posición en el mundo y de la necesidad de que se comprometa de manera innegociable con su figura pública. Ser un superhéroe no implica renunciar a la vida privada, pero sí estar dispuesto a sacrificar lo que haga falta por un bien mayor. La vida personal debe situarse en un segundo plano, y el destino así se lo demuestra al protagonista de haber aceptado las consecuencias iniciales del primer hechizo de Strange, solo habría perdido los recuerdos compartidos con su círculo cercano en relación al hecho de que él es Spider-Man. Haber querido ser demasiado ambicioso y no haberse conformado con esto lo lleva a tener que lidiar con el cruce de dimensiones, y la salvación final de la estabilidad del multiverso por parte de Doctor Strange, lo que provoca, en última instancia, que Peter Parker lo pierda prácticamente todo. Finalmente, Stephen debe aplicar un segundo hechizo, que en este caso no implica que la humanidad olvide que Peter Parker es Spider-Man, sino que la humanidad olvide a Peter Parker. El sacrificio es, por tanto, considerablemente superior, pero, aunque tremendamente doloroso, coloca al protagonista en una situación donde, por fin, aprende a renunciar y a aceptar el destino, en un proceso de maduración psicológico-emocional que lo convierte en una versión superior de No Way Home es, por tanto, un filme que logra ser tremendamente ambicioso sin perder por el camino su esencia de producto menor que siempre ha sido esta trilogía del hombre-araña. Más que una obra de acción trepidante y altas dosis de CGI, la obra es, en realidad, una película de relato subtextual que se sostiene principalmente en torno a las interacciones entre actores y a la gran química que se crea entre ellos —en realidad no cuenta con tantas escenas de acción, ni tan espectaculares ni largas, como los grandes proyectos de Marvel—. Jon Watts vuelve a demostrar su gran capacidad para la dirección de sus intérpretes, así como un solvente dominio del tono de este Spider-Man. El gran hallazgo de esta tercera entrega es, sin embargo, la exploración de lo superheroico. Si en la primera Peter tenía a Tony Stark/Iron Man Robert Downey Jr. como referente al que emular, y en la segunda su muerte y la asunción de que debía ser su sustituto se convertía en una losa demasiado pesada, en esta tercera se produce una evolución que lleva al protagonista a acercarse, de manera consciente o no, a otras formas de lo superheroico. La manera de encarar la vida de Peter tiene bastante más que ver con ese egocentrismo que transpiraba Tony, que en su caso escalaba a cotas de megalomanía cool, que con la visión humilde y altruista de la otra vertiente del UCM, la que representa Steve Rogers/Capitán América Chris Evans. Sin embargo, la evolución que tiene lugar en Spider-Man No Way Home lleva a a su protagonista a comportarse más como el portador del escudo que como el de la armadura final entre Steve Rogers y Bucky Barnes en Capitán América El Soldado de InviernoSu insistencia en guiarse por lo moral y lo humanista —con la tía May, por fin, adquiriendo un papel relevante, sirviendo de faro de la ética, como lo había sido el tío Ben en las anteriores versiones cinematográficas y, en general, en el material original de los cómics— provoca un acercamiento progresivo a los valores y actitudes de Rogers, que culmina en el paralelismo que se da entre este filme y Capitán América El Soldado de Invierno Captain America The Winter Soldier, Anthony Russo, Joe Russo, 2014. Si en aquella se mostraba a un Steve capaz de rebelarse contra cualquier poder con tal de salvar a un amigo, en cuya recuperación y curación creía, sin importar el número de golpes que tuviera que recibir, o el número de recaídas que su compañero fuera a sufrir, en la útima entrega del hombre-araña se muestra a un Peter que es capaz de encerrar al mismísimo Doctor Strange en la Dimensión Espejo con tal de evitar la muerte de los villanos de los otros universos. Esta transformación es amenazada por el Duende Verde Willem Dafoe, cuando este mata a tía May y Peter se debate entre seguir haciendo lo correcto y salvar a este villano, a pesar de todo —seguir las enseñanzas de su tía, quien le insta a que continúe por este camino incluso tras haber sido herida de muerte—, y moverse por el impulso vengativo y matarlo. La conversión del superhéroe se pone patas arriba con un personaje caótico e imprevisible, que recuerda al Joker y su manera de sacar la peor cara de circunstancia se refleja en la batalla final, que tiene lugar en la Estatua de la Libertad de Nueva York, donde se está instalando un inmenso escudo del Capitán América. De manera metafórica, el escudo cae durante el enfrentamiento y queda, por decirlo de alguna manera, boca abajo. Es en esta superficie donde Peter está a punto de matar al Duende Verde, pero es otro Peter, el de la versión de Tobey Maguire, quien lo frena. Esta versión del personaje ya le había expresado que no encontraría paz en la venganza, puesto que él mismo ha seguido ese camino y ha podido experimentarlo en sus propias carnes. Este Peter hace lo correcto, y también está a punto de morir, de nuevo a manos del Duende Verde. Este nuevo sacrificio por parte de su homólogo lleva al Peter de Tom Holland a entender cuál es la mejor versión de Spider-Man, por lo que recupera su voluntad de seguir los pasos de Steve y continuar luchando por ser siempre impecable, un profesional de lo superheroico. Al igual que en la película de 2014, el protagonista acaba obteniendo los frutos de guiarse por este camino, no sin importantes sacrificios. Entre el reseteo de la saga y la evolución hacia otras perspectivas sobre el personaje —el Peter Parker pobre, adulto, solo y con infinita mala suerte, que salva la ciudad mientras sufre los reveses de la vida cotidiana—, Spider-Man No Way Home llega a su fin cerrando el círculo de un arco narrativo forjado en tres entregas; un arco narrativo que, desde la humildad inherente a estas tres producciones, se acaba convirtiendo en uno de los más valiosos hallazgos del UCM. Share this
Synopsis Pour la première fois dans l’histoire cinématographique de Spider-Man, l’identité du héros sympa du quartier est révélée, et ses responsabilités de super héros entrent en conflit avec sa vie privée, mettant ainsi en danger ses proches. Quand il demande de l’aide à Doctor Strange pour rétablir les choses et garder son
Catégories d’évènement BeaugencyLoiret SPIDER-MAN NO WAY HOME Cinéma Le Dunois Beaugency, 15 janvier 2022, Beaugency. SPIDER-MAN NO WAY HOME du samedi 15 janvier au dimanche 16 janvier à Cinéma Le Dunois Beaugency Pour la première fois dans son histoire cinématographique, Spider-Man, le héros sympa du quartier est démasqué et ne peut désormais plus séparer sa vie normale de ses lourdes responsabilités de super-héros. Quand il demande de l’aide à Doctor Strange, les enjeux deviennent encore plus dangereux, le forçant à découvrir ce qu’être Spider-Man signifie véritablement. 2h 29min / Action, Aventure, Fantastique De Jon Watts Par Chris McKenna, Erik Sommers Avec Tom Holland, Zendaya, Benedict Cumberbatch Cinéma Le Dunois Beaugency 11 Rue de la Maille d’Or, 45190 Beaugency Beaugency Loiret Dates et horaires de début et de fin année – mois – jour – heure 2022-01-15T203000 2022-01-15T230000;2022-01-16T143000 2022-01-16T170000 Cliquez ici pour ajouter gratuitement un événement dans cet agenda Beaugency Loiret Beaugency Loiret
Yasabíamos que Spider-Man: No Way Home regresaba a las salas de cine con una versión extendida titulada Spider-Man: No Way Home - The More Fun Stuff Version, filme que se irá estrenando de

Sony et Marvel Studios veulent capitaliser sur le succès fulgurant de Spider-Man No Way Home. Une nouvelle version avec 11 minutes de séquences inédites sera prochainement diffusée au cinéma. Et voici un teaser en guise d’avant-goût ! Tobey Maguire dans une séquence inédite de No Way Home – Crédit Sony Pictures Entertainment Fort de près de 2 milliards de dollars engrangés dans le monde, Spider-Man No Way Home est devenu le sixième plus gros succès au box-office mondial de l’histoire. Face à de telles retombées commerciales, Sony et Marvel en ont conclu qu’il était encore possible de gratter quelques deniers supplémentaires en projetant à nouveau le film dans les salles obscures. Alors que Spider-Man No Way Home avait déjà eu le droit à une version modifiée au cinéma, le film va faire son grand retour dans une version plus riche qui sortira à la rentrée. Intitulée Spider-Man No Way Home – More Fun Stuff Version, celle-ci introduira 11 minutes de séquences inédites mettant en scène les trois Spidey incarnés par Tobey Maguire, Andrew Garfield et Tom Holland. Spider-Man No Way Home déjà de retour au box-office ! Un court teaser a été dévoilé où l’on peut admirer quelques extraits de ces scènes additionnelles qui feront le bonheur des fans de la première heure. Même s’il ne dure que 15 secondes, il donne une bonne idée des nouvelles séquences incluses. Nous devrions recommencer », dit notamment Garfield lors de la bataille épique qui se joue dans le troisième acte. On pourra également découvrir la scène coupée avec le frère de Tom Holland qui avait fuité il y a quelques mois. Ou une autre séquence dans laquelle Peter Parker utilise ses compétences super-héroïques à l’école. Si cette nouvelle mouture sortira le 2 septembre outre-Atlantique, il faudra être un tantinet plus patient pour les fans français du Tisseur. Spider-Man No Way Home – More Fun Stuff Version déboulera le 7 septembre prochain dans les salles hexagonales. Outre le teaser disponible ci-dessous, vous pouvez également dévorer le script intégral de Spider-Man No Way Home disponible en ligne. Faut-il s’attendre à de futurs projets incluant Garfield et Maguire dans le costume de Spidey ? Rien n’est impossible avec la multivers. En attendant, ces séquences inédites de No Way Home devraient satisfaire le public, pressé de revoir les deux acteurs à l’oeuvre.

Sortile 15 décembre en salles, le blockbuster de Jon Watts sera présenté à nouveau en septembre, avec 15 minutes supplémentaires. Spider-Man: No Way Home de Films Ce n'est désormais plus qu'une question de temps avant de découvrir de nouvelles scènes du prochain long-métrage Spider-Man du MCU. Décidément, l'Homme-Araignée occupe la scène médiatique en ce mois de novembre. Outre son arrivée imminente dans Marvel's Avengers, c'est du côté du MCU qu'il fait grand bruit. La semaine dernière, nous avons ainsi eu droit à une première affiche officielle pour Spider-Man No Way Home, mettant l'alter ego de Peter Parker au beau milieu de l'action, entouré par plusieurs de ses ennemis bien menaçants, certains seulement suggérés par leurs capacités. Eh bien, Sony Pictures et Marvel Studios remettent ça aujourd'hui, mais pas que. En effet, un deuxième poster vient donc d'être diffusé sur la toile, où le Spider-Man de Tom Holland partage cette fois l'affiche avec Doctor Strange Benedict Cumberbatch, alors que les tentacules mécaniques du Dr. Octopus Alfred Molina se font une fois de plus bien menaçants, tandis que le Bouffon Vert/Green Goblin n'est encore là que pour la figuration en fond et que des éclairs sans doute liés à Electro sont visibles. Les immeubles distordus en fond sont eux présents pour nous rappeler l'intrigue liée au Multivers suite au sort jeté par Stephen Strange, déjà présentée dans le premier teaser trailer diffusé en août. Et justement, ce visuel est accompagné d'un court message qui a lui seul a de quoi secouer la Toile et vient confirmer les bruits de couloir, à savoir qu'une nouvelle bande-annonce de Spider-Man No Way Home sera diffusée demain » en Amérique du Nord et mercredi » en France. À priori, nous pouvons l'attendre donc l'attendre en pleine nuit voire au petit matin. Un évènement physique doit justement avoir lieu à Los Angeles, où elle sera donc projetée il va sans dire. Pour le coup, il faut s'attendre à du lourd, avec peut-être enfin l'officialisation de la présence de plusieurs Tisseurs dans le film. Le film est pour rappel prévu pour une sortie en salles le 15 décembre. Si vous avez besoin de rattraper votre retard, un coffret Blu-ray contenant Spider-Man Homecoming et Far From Home est vendu 19,99 € sur Amazon. Lire aussi DISNEY+ des séries X-Men, Echo, Spider-Man, Marvel Zombies et Agatha Harkness annoncées, et des teasers pour Moon Knight, She-Hulk et Ms. Marvel !
MarvelStudios ha deciso di riportare al cinema 'Spider-Man: No Way Home': uscirà nelle sale italiane dal 18 al 22 settembre, in una extended edition che promette circa
27ème film du Marvel Cinematic Universe et le 3ème consacré à l'homme araignée après Homecoming et Far From Home, Spider-Man No Way Home sortira le 17 décembre 2021 aux film sera une suite direct de Far From Home qui finissait sur la divulgation de l'identité de l'homme araignée au monde film sera de nouveau réalisé par Jon Watts et produit par Disney et sera écrit par Chris McKenna et Erik Sommers, et la musique sera de nouveau composé par Michael casting, Tom Holland, Zendaya et Jacob Batalon reprendront leur rôle de Peter Parker, MJ et Ned seront entourés par un casting composé de vétéran du MCU ainsi que des anciens films Spider-manA ce sont confirmés Marisa Tomei May Parker Jamie Foxx Electro Benedict Cumberbatch Doctor Strange Alfred Molina Doctor OctopusLe film ferait la jonction entre le MCU et les autres univers Sony/Marvel les anciens Spider-man et Venom . 81 242 178 197 164 43 378 312

spider man no way home cine